Présentation

Vos déchets coûtent cher ? Economisez avec AC2V.​

La valorisation des déchets représente une réponse adéquate aux problématiques de l’île, à court terme, en termes de coût d’équipement et de rapidité de mise en œuvre, et à long terme, en matière de résultats et d’impact environnemental.

Depuis 2005, AC2V propose des solutions adaptées à toutes les entreprises réunionnaises, quels que soient leur taille et leur secteur d’activité (industrie, distribution, agriculture, collecteurs de déchets). Activité de Compactage et de Valorisation Verny, AC2V, concentre ses activités sur le conseil, le tri, le compactage et le recyclage du carton, du papier et du plastique. Un marché annuel de plus de 37 000 tonnes dont moins d’un tiers est valorisé à ce jour.

 

recyclage des déchets

 

Le Compacteur de déchets Valpak

Distributeur de différentes marques de compacteur et broyeur pour déchets, la solution phare d’AC2V, le Valpak® est un compacteur de déchets par lacération. Fabriqué dans l’Ouest de la France et commercialisé à la Réunion au prix métropole, le Valpak® dispose d’une technologie unique et brevetée qui lui permet d’afficher de nombreux atouts

  • simplicité de mise en œuvre et d’utilisation.
  • efficacité (taux de compactage de un pour dix).
  • hygiène, confort et sécurité grâce à une automatisation de ses fonctionnalités.
  • économies en temps, espace et énergie. Le Valpak® traite le papier, le carton et le plastique

Dans sa dernière version, il est également en mesure de traiter les ordures ménagères. En complément à cette solution performante, AC2V assure un accompagnement complet de ses clients :

  • conseil sur toute solution de valorisation des déchets autre que le Valpak ;
  • assistance technique : SAV en 24h assuré par une équipe formée au fonctionnement du Valpak® et disponibilité de l’ensemble des pièces détachées sur l’île ;
  • recherche de débouchés pour les déchets ainsi triés.

Gestion des déchets à la Réunion

Avec seulement un tiers des DIB (déchets industriels banals = papier, carton, plastique, verre, ferraille et bois) recyclés sur les 100 000 tonnes produites annuellement, la Réunion doit trouver des alternatives concrètes et efficaces aux modes de gestion actuels des déchets. Bientôt arrivés à saturation, les sites d’enfouissement de l’île ne constituent pas une solution viable dans le cadre d’un développement qui se veut durable.

La filière de valorisation des déchets est encore peu développée à la Réunion, d’où notre volonté de proposer des solutions adaptées à toutes les entreprises réunionnaises, quel que soient leur taille et leur secteur d’activité (industrie, distribution, agriculture, collecteurs de déchets).

 

île de lé réunion

 

AC2V (Activité de Compactage et de Valorisation Verny), concentre ses activités sur le conseil, le tri, le compactage et le recyclage du carton, du papier et du plastique. Un marché annuel de plus de 37 000 tonnes dont moins d’un tiers est valorisé à ce jour. Utilisés par l’ensemble des industries réunionnaises, plastique, carton et papier représentent plus d’un tiers des DIB. En revanche, seuls 28 % des 37 300 tonnes générées annuellement ont été valorisés en 2005. Un retard non négligeable en comparaison avec d’autres filières comme la ferraille (plus des deux tiers sont recyclés) ou le verre (plus de 50 % sont valorisés). En moyenne, seul un tiers des DIB est valorisé. Les deux tiers restant alimentent les deux sites d’enfouissement de l’île. Mais les centres de stockage de la Rivière Saint-Etienne et de Sainte-Suzanne arrivent bientôt à saturation.

La Réunion n’a pas encore apporté de solution globale concrète à ce problème. Or des filières de valorisation des DIB papier, carton et plastique existent déjà à la Réunion :

  • le plastique récupéré est transformé en granulat et sert en partie à la fabrication des composteurs individuels et sacs poubelles par Cyclea
  • la décomposition organique : le papier / carton déchiquetés peuvent servir d’engrais à la filière agricole par apport de matière organique en compostage.
  • L’exportation des matières premières secondaires : leur développement permettrait d’absorber une grande partie de la production de déchets papier, carton et plastique de l’industrie locale ; de résoudre partiellement la question des DIB ; de créer de nouvelles activités (collecte, recyclage), et enfin, de mettre les entreprises réunionnaises en conformité avec la loi